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Aujourd’hui, après le petit hommage écrit pour les 57 ans de mon empirique père, je vénère la magnifique plantation dont j’ai pris soin depuis le 11 juin dernier, et qui m’a rendu tout son éclat, toute sa fraîcheur et son doux et inégalable parfum.

Cela fait maintenant une année que nous sommes ensemble, dix mois que nous le sommes IRL (In Real Life ou “dans la vraie vie”, en dehors d’Internet) et six mois que nous sommes en ménage. Avec des hauts mais hélas beaucoup de bas avec les alinéas du quotidien : une première vie de couple dans un (trop) petit studio, la recherche d’un emploi (employeurs, recrutez-moi !), le manque de liberté et d’indépendance financière (une conséquence logique), et pour ma part, la distance qui me sépare de mon pays, mes parents et quelques amis, etc.

Malgré tout cela, ma petite femme, elle, bien qu’elle en souffre comme moi, a toujours été présente pour me soutenir, me rendre des services, me partager son temps libre, me donner toute l’affection dont elle est capable, et surtout, m’aimer quelque soit les difficultés et les disputes. C’est une petite femme adorable, souriante, craquante et affectueuse que beaucoup d’hommes envient. J’ai donc beaucoup de chance d’être le jardinier d’une petite Rose rare mais fragile.

Je souhaite que notre deuxième année ensemble surmonte tous les obstacles creusés et montés par les crises mutuelles et sociétales. Que notre vie s’agrémente d’une grande force dans nos sentiments, d’une grande stabilité dans nos rentrées d’argent, et d’une grande tenacité morale.

Quoi que je dise ou fasse, j’aimerais rappeler à ma femme combien je l’aime, même si ma passion pour le web et tout ce qui s’y attache me captivent l’esprit et me rendent distant. Mais avant l’esprit, il y a le coeur. Et mon coeur est tien et ne bat que pour toi et, je le souhaite, à jamais !

Je continuerai à faire des efforts pour toi, même si dans les circonstances actuelles, j’ai assez de mal.

A toi, la petite Rose qui embellit l’aube de mes plus sombres journées par sa rosée du matin.