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Quand j’étais petit, je regardais souvent les clips de ses cassettes VHS (HISTORY : Video Greatest Hits et HISTORY on Film), dont les plus répandus : Black & White, Thriller, Beat it, Remember the Time, We Are the World, etc. J’étais impressionné par toute sa mise en scène, son jeu d’acteur, son dynamisme et bien sûr, son style de danse original. Ses chansons étaient aussi touchantes qu’entrainantes, chantant pour des oeuvres caritatives, contre la guerre, la déforestation et la haine raciale.

Plus tard, à mes 13 ans, j’interprétais “Thriller” sur mon clavier midi. Dans un style plutôt humoristique, je le nommai “Thrillox”, inspiré de ma production de jeu naissante, “FLOX production”. Je vous le proposerai en téléchargement plus tard.

A mes 19 ans, à la sortie de Donkey Konga, jeu de rythme sur Game Cube, je découvrai l’un de ses premiers plus vieux tubes, avec ses frères, à l’époque des Jackson Five, alors qu’il était petit : “I want you back”. Si vous avez le coup de blues, ce morceau va vous communiquer sa joie et sa bonne humeur ! C’est l’un des morceaux qui m’aura le plus scotché à ma télé. J’ai tellement pris plaisir à l’écouter que je suis allé rechercher le clip sur Youtube.

J’ai suivi avec attention les reportages qui étaient là pour apporter des réponses aux mystères planant sur la vie privée de Michael avec les médias qui l’ont démoli et la vie parfois perturbée qu’il a pu endurer derrière sa prison d’argent. Malgré toutes les soit-disantes preuves, mon admiration pour lui, sa sensibilité et son côté enfant innocent ont toujours pris le dessus.

J’étais heureux de voir que, malgré tout ça, il se relevait pour sortir un nouvel album et organiser de grands concerts. Hélas, il s’en alla au pays imaginaire un peu tôt, laissant tous ses fans sans voix. Et même si je ne suis pas un grand fan, j’avais du mal à imaginer le monde de la musique sans Michael Jackson, une figure emblématique. Pourtant, il va falloir s’y faire, car il a plié bagage à destination d’un pays où on reste enfant, innocent et où on ne revient jamais.

Si une vie existe après la mort, ce que j’ai personnellement du mal à croire, tu es heureux maintenant, Michael !